Partant d’un discours politique sur la valeur du travail, Burnout témoigne de l’aliénation d’une société de plus en plus centrée sur l’efficacité et la performance. Le texte agit comme l’expérience d’une dégénérescence langagière et rythmique : deux personnages s’enfoncent dans une maladie de mots, dans les névroses de la pensée rectangulaire, jusqu’à une saturation totale et dangereuse de leur équilibre mental.
En contrepoint à l’aliénation, l’univers d’Extrêmophile propose une immersion en zones abyssales comme métaphore d’un possible renouveau.

À partir de Burnout et de Extrêmophile ( séquence 11) d’Alexandra Badea

Mise en scène :
Marie Denys

Assistance à la mise en scène :
Morgane Deman

Distribution :
Pierre-Marie Paturel - Hélène Tisserand

Création musicale :
Anthony Laguerre

Création lumières :
Vincent Dono

Création sonore :
Antoine Delagoutte

Scénographie :
Guillaume Hunout

Administration :
Anne-Cécile Chinotti

Communication :
Annabelle Valentin

Soutien au projet :
Sébastien Poirot